Le roi Albert II et la reine Paola. Cet intérêt le pousse à rejoindre la croisade menée contre le royaume de Grenade, durant laquelle il succombe à la maladie ou à ses blessures. Dernière modification de cette page le 4 décembre 2020 à 12:22. Ce fut donc Philippe que s’offrit le luxe de provoquer le puissant roi d’Angleterre. Philippe III gagne rapidement la renommée d'être un souverain efficace[23]. Philippe obéit et se retire du siège[44]. Bien qu'ils aient tous deux une revendication importante à la couronne de France, Philippe et Jeanne deviennent des puissants vassaux du roi Philippe VI de Valois. Le duc d'Orléans est le plus riche seigneur de France. Il signe 38 décrets seul, sans en référer à son épouse[27]. Très absent de son royaume d'Angleterre, Richard préfère se consacrer à ses possessions françaises et à la croisade en Terre sainte.. Peu après son accession au trône en 1189, il décide de se joindre à la troisième croisade, inspirée par la perte de Jérusalem, prise par Saladin.Richard Cœur de Lion craint que Philippe Auguste n’usurpe ses territoires en son absence. Avant son avènement sur le trône d'Espagne en 1556, Philippe II avait vécu quelque temps aux Pays-Bas, à cause du conflit contre la France qui lui barrait la route du retour vers l'Espagne. Traité de Troyes (1420), Philippe le Bon acquiert et assemble les Pays-Bas bourguignons (1421-1456), Philippe le Bon se réconcilie avec Charles VII. Les arguments du jeune roi d'Angleterre sont vite écartés puis les pairs désignent Philippe de Valois car plus mûr et plus proche de Charles IV [9]. Philippe est le fils de Louis d'Évreux, fils du roi de France Philippe III le Hardi par sa seconde épouse Marie de Brabant. L’objectif semble avoir été d’ébranler la dynastie anglo-normande en faisant valoir les droits de son épouse, avec l’appui de la couronne danoise. La dernière modification de cette page a été faite le 28 octobre 2020 à 13:44. En ces temps troublés, la France a donc deux rois : un roi reconnu à Paris : Henri VI (que supplée son oncle, Bedford) et l'autre (Charles VII) qui tient la moitié Sud de la France (l'Aquitaine exceptée) et que ses ennemis nomment, par dérision, le « roi de Bourges ». Il entame par ailleurs des négociations autour des fiançailles de sa fille aînée Jeanne avec Pierre, héritier du trône d'Aragon, dès 1329[35]. Cela, en plus du berceau de la dynastie bourguignonne des Valois, à savoir les Bourgognes et leurs dépendances (Charolais, Maconnais) ou « pays de par-delà » qui, eux, forment un deuxième ensemble, malheureusement séparé du premier par un certain nombre de provinces. Il tient son surnom de son couronnement anticipé du vivant de son père. En 1456, du fait d'excellentes relations avec le pape Calixte III, Philippe le Bon prend le contrôle de la principauté épiscopale de Liège, via la nomination comme prince-évêque de son tout jeune neveu Louis de Bourbon ; cette souveraineté de fait sur Liège permet à Philippe de réunir tous ses fiefs septentrionaux en un seul bloc et notamment ceux de Brabant, Hainaut et Namurois à ceux de Limbourg et Luxembourg, la principauté épiscopale servant, par sa position géographique, de trait d'union entre eux. Finalement, le 22 août suivant, le pape Jean XXII publie une bulle dans laquelle il reconnaît Philippe comme roi de Navarre[14]. En outre, Philippe le Bon est exempté d'hommage à Charles VII pour ses fiefs bourguignons de mouvance française (et la durée de vie des deux contractants). Les légistes du couple invoquent le Nouveau Testament pour défendre les droits de Philippe car « la tête de la femme est l'homme », tout en assurant que Jeanne a consenti à renforcer la position de son époux[17]. Mais le coeur n'y est pas. Le fils d’Henri, Richard, qui avait le coeur si vaillant qu’on le surnomma Coeur de Lion vient alors à la cour de France. Pour permettre ce mariage, Jeanne se fait religieuse à l'abbaye de Longchamp en 1337 à l'âge d'onze ans et renonce l'année suivante à ses droits sur le royaume de Navarre au profit de sa sœur. En octobre 1456, fuyant la colère de son père Charles VII, le dauphin de France vient à Bruxelles se mettre sous la protection de son bel oncle. Les arguments du jeune roi d'Angleterre sont vite écartés puis les pairs désignent Philippe de Valois car plus mûr et plus proche de Charles IV[9]. Philippe arrive au siège d'Algésiras en juillet 1343 avec 100 chevaliers, 300 fantassins mais surtout une large quantité de vivres — on relève de la viande, du jambon, du vin et de l'orge — qu'il a faits importer du golfe de Gascogne. Pendant quelques années, le hockey belge avait un jeune joueur de marque en ses rangs. Dans une nouvelle tentative pour pousser le roi à quitter le continent, le comte Philippe de Flandre annonça son intention d'envahir l'Angleterre et il envoya une avant-garde en Est-Anglie [309]. En 1338, le vieux vicomte Guitard d'Albret meurt et est remplacé par Bernard Ezi V d'Albret. La santé et les facultés intellectuelles du duc de Bourgogne déclinent avec l'âge. La rupture avec l'Angleterre provoque quand même pas mal de turbulences en Flandre, particulièrement à Bruges et Gand. Alphonse XI lui propose ses propres médecins, qui conseillent à Philippe de changer de régime alimentaire. Petit-fils de roi mais élevé pour devenir un simple comte, Philippe prend tout de même son statut de monarque avec sérieux[22]. Par la suite, Philippe concentre essentiellement sa politique extérieure vers ses voisins ibériques[33]. Il s'agit alors de la plus longue visite d'un monarque navarrais en son royaume depuis 1274. Le duc Philippe était donc le bel oncle du roi de France. Louis XI, nouveau roi de France, en profite pour faire jouer la clause de rachat des villes de la Somme contenue dans le traité d'Arras et versant les 400.000 écus d'or prévus, récupère cette ligne de places-fortes stratégiques (septembre 1463), à la grande colère du comte de Charolais. Pour venger le meurtre de son père, le jeune duc Philippe s'allie ouvertement à Henri V, roi d'Angleterre et participe à l'élaboration du désastreux traité de Troyes (21 mai 1420), qui déshérite le dauphin Charles au profit de Henri V (l'« envahisseur » anglais). Les Pays-Bas, terres relevant du Saint-Empire romain et qui jouxtent ses domaines flamands, lui semblent propres à assouvir son ambition secrète : celle de constituer un vrai royaume burgundo-flamand. En dehors des 85 décrets royaux préservés pendant cette période, 41 documents ont été promulgués en leurs noms[26]. Bien qu'il ne soit à sa naissance qu'un membre d'une branche cadette de la famille royale française, il parvient à gagner de l'importance lorsque la lignée des Capétiens directs s'éteint et acquiert, au nom de son épouse Jeanne II de Navarre, le trône ibérique et plusieurs fiefs français. La façon dont son héritier va gérer les circonstances politiques du temps est une autre histoire. Retrouvez le roi de France Philippe-Auguste du haut des remparts de la forteresse de Parthenay en 1207 Octobre 1206, Trêve de Thouars entre le roi de France Philippe-Auguste et Jean sans Terre assistés des seigneurs du Poitou Dans un pays protestant, la reine, qui est catholique et de qui le roi accepte tout, déchaîne des révoltes. Seuls six documents ont été promulgués exclusivement au nom de Jeanne[27]. La Maison de Valois monte ainsi sur le trône en la personne de Philippe VI, qui invite immédiatement son cousin d'Évreux à son conseil [10]. La France et l'Angleterre étant tout au conflit qui les oppose, l'heure lui est propice. Henri II appuya Richard, et Henri le Jeune mourut de la dysenterie à la fin de la campagne [27].Le prince héritier étant mort, le roi modifia ses plans pour sa succession. Bien qu'ils vivent alors l'un près de l'autre, Jeanne et Philippe ne sont pas élevés ensemble en raison de leur différence d'âge[5]. Après la répudiation d'Aliénor, Louis VII épousa successivement Constance de Castille et Adèle de Champagne. La première femme de Philippe le Bon était Michelle de France, une tante de Louis XI. 9 nov. 2020 - Découvrez le tableau "Roi philippe" de Bourguignon andree sur Pinterest. Ainsi, début mai 1436, Charles VII récupère sa capitale. https://fr.vikidia.org/w/index.php?title=Philippe_III_de_Bourgogne&oldid=1495644, Creative Commons Attribution-Share Alike 3.0. Louis meurt en 1180 juste après avoir signé le traité de Gisors avec Henri II d'Angleterre. Le fils de Louis VII: Philippe II, surnommé plus tard « Auguste », était bien jeune quand il monta sur le trône en 1180 (tout juste15 ans). Philippe rattache les terres et les revenus confisqués au domaine royal[30]. Avant son avènement sur le trône d'Espagne en 1556, Philippe II avait vécu quelque temps aux Pays-Bas, à cause du conflit contre la France qui lui barrait la route du retour vers l'Espagne. À sa mort soudaine en 1316, Louis X n'a qu'une fille, Jeanne. Pendant près de trois décennies (1435-1462), il va réunir, organiser, gérer (pacifiant au besoin : Bruges, Gand et surtout Liège), cimenter l'ensemble des Pays-Bas, avec l'idée d'en faire un royaume indépendant ("lotharingien") entre la France et le Saint-Empire, un royaume auquel s'agrégeraient tôt ou tard les Bourgognes et leurs dépendances (Charolais, Maconnais, Auxerrois, Château-Chinon). Le 23 août 1328, Philippe VI écrase les rebelles flamands à la bataille du Mont-Cassel à laquelle figurent 39 bannières à ses côtés, dont celle du roi de Navarre[32]. Bien que les hostilités n'aient été produites ni par Philippe ni par Alphonse XI, ce dernier se sent tenu de mener son armée contre la Navarre. À l'occasion de cette sombre péripétie de l'histoire de France, les « villes de la Somme » (les châtellenies de Péronne, Roye et Montdidier) que Michelle de France, la première femme du duc de Bourgogne, lui a apporté en dot, sont confirmées à celui-ci par le nouveau régent (et désormais héritier du trône) de France, Henri V... lequel ne profitera pas véritablement de ses deux couronnes, puisqu'il décède prématurément le 31 août 1422, à 34 ans, deux mois avant son beau-père Charles VI. Philippe Auguste finit par soutenir le jeune Breton. 1422 à sa mort en janv. Pourtant, les sources suggèrent que Philippe était plus actif dans certains domaines du gouvernement, en particulier la législation[25]. cartes), créa les conditio… Voir plus d'idées sur le thème roi philippe, reine maxima, style royal. » Pirenne, Histoire de Belgique, 1948, vol. À l'issue de cette victoire française décisive, Philippe VI confesse à son cousin de Navarre qu'il lui doit et la victoire et la vie. Leur mariage n'est consommé qu'en 1324[6]. L'ascension sur le trône de la Maison d'Évreux sous l'égide de Philippe III est importante car elle constitue une nouvelle ère dans l'histoire de la Navarre, désormais libérée du gouvernement de la France[14]. Le couple s'arrange par ailleurs pour que les coutumes et lois navarraises soient respectées et que les citoyens du Royaume soient plus directement impliqués dans la gestion de leur royaume[23]. La future reine Elisabeth est conquise. Petit, brun de peau, lourd et maladroit, borgne de surcroit, il n’avait rien du chevalier idéal. Ils y retournent en avril 1336 et y restent jusqu'en octobre 1337. Portrait Nom Règne Notes Philippe VI (1293 – 1350) 1328 – 1350: En 1328, les grands seigneurs français choisissent comme roi le duc Philippe de Valois, petit-fils de Philippe III et neveu de Philippe IV.Ils écartent ainsi, en s'appuyant sur la loi salique, Édouard III, roi d'Angleterre et neveu du dernier roi … Les deux époux mènent en juillet 1328 des négociations chacun de leur côté[16]. Un traité de paix est signé à Salamanque le 15 mars 1330 avec la Castille[34]. Alphonse accepte de négocier la paix. Ancêtres de Philippe III de Navarre (1306-1343), https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Philippe_III_de_Navarre&oldid=175999779, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Portail:Biographie/Articles liés/Politique, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Il devient lui-même duc de Bourgogne le 10 septembre 1419, jour de l'assassinat de Jean sans Peur, son père, au pont de Montereau, lors d'une entrevue de réconciliation de celui-ci avec le dauphin Charles, fils du roi Charles VI et futur Charles VII. Tandis que le droit héréditaire de Jeanne sur la couronne est unanimement accepté, le rôle de Philippe n'est pas clair. Philippe n'est pas satisfait, car il pense que sa position sera affaiblie s'il n'est pas couronné avec Jeanne. Des pourparlers anglo-bourguignons aboutissent (septembre 1439 - février 1440). Philippe est armé chevalier en 1067 et prend en main les rènes du royaume, peu de temps avant la mort de son tuteur, le comte de Flandre. Ils sont les premiers monarques de Navarre à être couronnés. Elle reçoit en dédommagement une rente de 1000 livres, assise sur la seigneurie de Mantes[36]. Le 18 juin 1318, Philippe d'Évreux épouse Jeanne de Navarre, fille de Louis X et de Marguerite de Bourgogne. II, p.227. Malgré les réticences des Navarrais à accepter Philippe comme roi aux côtés de Jeanne, il est en particulier crédité d'avoir amélioré la législature de son royaume. Les Évreux sont impliqués dans les négociations entourant la succession du roi de France Louis X, neveu de Louis d'Évreux. Les époux sont célébrés pour leur implication active sur les affaires navarraises, même pendant leurs absences, ainsi que pour avoir placé les intérêts de la Navarre au-dessus de leur patrie, la France. Les nobles acceptent toutefois que Philippe prenne part au gouvernement du Royaume. Philippe VI persuade Jeanne et Philippe d'Évreux de renoncer à la Champagne et la Brie, car il veut les empêcher d'encercler Paris[12]. Il s'agit d'un des premiers engagements militaires de la guerre de Cent Ans[41]. Jeanne II et Philippe III de Navarre coopèrent étroitement pendant leur règne[25]. Ce dernier épouse en 1324 Jeanne, une des sœurs cadettes de Philippe d'Évreux. Il ne va pas plus loin que Jerez de la Frontera, où il trépasse le 16 septembre 1343[24]. Les seigneurs navarrais insistent pour que Jeanne seule, en tant que « reine naturelle », sera élevée sur un bouclier et couronnée, arguant le fait que « personne ne peut être élevé s'il n'est pas un seigneur naturel »[16]. L'utilisation de couronnes et sceptres est une innovation dans la cérémonie, importée des Capétiens en France. Par Vikidia, l’encyclopédie pour les jeunes, qui explique aux enfants et à ceux qui veulent une présentation simple d'un sujet. Finalement, Jeanne et Philippe sont tous deux couronnés, oints par l'évêque Arnaud de Barbazan et élevés sur un bouclier à la cathédrale de Pampelune le 5 mars 1329[17]. Roi ou reine d'Angleterre, roi des Anglais Les armes des monarques d'Angleterre à partir de Richard Cœur de Lion : de gueules à trois léopards d'or armés et lampassés d'azur.Au fil du temps, il se complexifie avec l'ajout des armes de France, d'Écosse et d'Irlande. Philippe II n'est alors âgé que de 15 ans. Traité d'Arras (1435), Philippe le Bon souverain d'un quasi État Bourguignon (1435-1465), « Si l'on songe qu'il (Philippe le Bon) avait acheté le Namurois en 1421, qu'il était tout-puissant dans l'évêché d'Utrecht, qu'il soutenait en Gueldre le duc Arnold d'Egmont contre son compétiteur Adolphe de Juliers, qu'il disposait à son gré des évêchés de Cambrai et de Tournai et menaçait ouvertement le Luxembourg ; si l'on considère que, sûr du consentement de ses nouveaux sujets dans les régions qu'il venait de s'annexer, il n'avait à craindre aucun rival et qu'enfin, échappant tout à la fois à la suzeraineté du roi de France, contre lequel il soutenait une guerre victorieuse, et à celle du roi des Romains qui, en revendiquant pour l'Empire le Brabant, le Hainaut, la Hollande, la Zélande et la Frise, l'obligeait à y prendre les allures d'un prince indépendant, on comprendra sans peine de quel ascendant jouit dès lors ce fondateur d'un État nouveau créé en moins de quinze ans et qui renfermait les plus grandes villes et les plus riches territoires de l'Occident. Il fait donner une excellente éducation à ses enfants. Mariés au château du Séjour du Roy à Charenton, ils y habitent jusqu'à leur mort[47]. Il a probablement senti qu'il s'agissait de son devoir en tant que souverain d'un royaume ibérique[42]. Ce sont les parents du roi Philippe. Philippe d'Évreux et son cousin Philippe de Valois sont les candidats au trône de France avec la plus forte revendication, tandis que le roi d'Angleterre Édouard III le réclame en tant que neveu de Charles IV par sa sœur. Complètement impréparé à son rôle de souverain, il réussit à s'acquitter de la tâche en apprenant les coutumes, la langue et les institutions de son nouveau royaume[10]. 1462). Philippe V meurt sans héritier mâle en 1322 et est remplacé sur le trône par son frère Charles IV[3]. Une décennie plus tard, Philippe hérite de sa tante Élisabeth de Goerlitz le duché de Luxembourg (en deux temps : janvier 1442, novembre 1443), désintéressant, en outre, Guillaume de Saxe (au moyen de cent vingt mille florins de Hongrie) des droits qu'il avait sur ces terres. Son enfance n’est pas des plus heureuses : elle voit le jour en pleine guerre civile. Philippe III s'assure néanmoins que son image en Navarre reste positive. Depuis la mise à l'écart des femmes en 1316 puis en 1322, la succession par le parent mâle le plus proche est désormais établie[8]. Les clauses du traité sont dures pour le roi, mais la portée politique de ce renversement des alliances (la Bourgogne renonçant à soutenir les forces anglaises d'occupation pour se ranger du côté du roi de France légitime) est telle que Charles VII et ses conseillers estiment que ça n'est pas trop cher payé. Comme il est âgé de seulement 13 ans, son oncle Charles de Valois est chargé de l'administration de ses terres jusqu'à sa majorité[7]. Fils dHenri II d'Angleterre et dAliénor d'Aquitaine, Richard est élevé dans le duché d'Aquitaine à la cour de sa mère, ce qui lui vaut dans sa jeunesse le surnom de Poitevin. Le jeune Louis-Philippe s'engage dans l'armée républicaine et participe aux victoires … HENRY LE JEUNE D’ANGLETERRE, dit le jeune roi (1155 – 7 ou 11 juin 1183) Roi d’Angleterre (1170 – 1183) Jean ne doit la vie sauve qu’à l’intervention de leur mère. Philippe dépêche auprès du roi de Castille l'archevêque de Reims Jean II de Vienne. Philippe confisque les terres de Mixe et Ostabarret au profit de la couronne. Henri 2 Le Jeune de Champagne ROI de JERUSALEM 1166-1197 Marié le 5 mai 1192 avec Isabelle D'Anjou REINE DE JERUSALEM ET DE CHYPRE 1172-1205; Scholastique de CHAMPAGNE 1170-1219 Mariée en 1180 avec Guillaume 4 de MACON 1156-1224; Marie 2 de CHAMPAGNE 1174-1204 Mariée le 6 janvier 1186, Château-Thierry, 02168, Aisne, Picardie, France, avec Baudouin 6 de Hainaut … Philippe III de Bourgogne, dit Philippe le Bon, est né à Dijon le 31 juillet 1396 et mort à Bruges le 15 juin 1467. Ils sont par ailleurs déterminés à faire appliquer le renforcement législatif en Navarre, notamment en ordonnant la prise de sanctions à l'encontre des meneurs des émeutes anti-juives qui ont eu lieu avant leur couronnement ainsi que le versement d'indemnités aux victimes[28]. Bedford, régent de France pour le compte de Henri VI, étant mort une semaine avant la signature du traité, la nouvelle de celui-ci n'en déchaîne pas moins une énorme colère à Londres, et moult déclarations de représailles envers l'ancien allié. … Les Navarrais, mécontents des gouverneurs autoritaires nommés par Paris, sont ravis de mettre fin à l'union personnelle entre la Navarre et la France créée par le mariage en 1284 de Jeanne Ire de Navarre et Philippe IV le Bel[13]. Réalisant qu'il n'est plus à la hauteur, le vieux duc confie (avril 1465) les rênes effectives du pouvoir à son fils Charles qui, en moins de six mois, regagne les villes fortes perdues. « Philippe III de Bourgogne » expliqué aux enfants par Vikidia, l’encyclopédie junior, Philippe le Bon s'allie à Henri V d'Angleterre. Ce qui suscite encore débat est le rôle de Philippe au cours du couronnement. Philippe Auguste est né à Paris en l’an de grâce 1165, le fils de Louis VII Le Jeune (roi de 1137 à 1180), et de sa troisième épouse Adèle de Champagne Philippe Auguste est sacré du vivant de son père, le 1er novembre 1179, selon la pratique d’association qui prévaut chez les Capétiens depuis 987. Elle est le dernier enfant de Charles Ier d’Angleterre et d’Henriette-Marie de Bourbon. Le roi de Navarre préfère cependant le conseil de son propre physicien, qui lui affirme qu'il doit continuer à manger de la viande et boire du vin. Quoi qu'il en soit, ce climat d'hostilité entre les deux anciens alliés, aussi nuisible au commerce anglais qu'au commerce belge ou hollandais, ne pouvait durer. Lorsque son compagnon d'armes Gaston II de Foix-Béarn abandonne le siège en août 1343, il essaie sans succès de convaincre Philippe de le suivre[44]. Les deux rois se querellent dès l'embarquement à Messine, en Sicile, et leurs dissensions se font de plus en plus vives. Philippe ayant reçu pendant ce bref conflit l'assistance militaire de Gaston II de Foix-Béarn, il décide d'envoyer à son allié une compensation financière[40]. Ils eurent huit enfants : Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Cette perspective d'une invasion flamande eut l'effet escompté et Henri II … Son accomplissement le plus célèbre demeure l'amélioration des Fueros (Libertés) de la Navarre en 1330[23]. Louis-Philippe est le fils du duc Philippe d'Orléans, cousin du roi Louis XVI. Une trêve est même signée entre la France et l'Angleterre en mai 1444, interrompant pour cinq ans la Guerre de Cent Ans. La guerre fut courte et Henri capitula de manière peu glorieuse à Azay-le-Rideau. Seule Jeanne est invitée à Pampelune pour régner sur son nouveau royaume. Philippe V est finalement contraint de négocier le statut de sa nièce[2]. Le 1er octobre 1333, l'archevêque de Rouen Pierre Roger prêche à Paris un sermon de croisade devant une assemblée de nobles en présence de Philippe VI. Le roi Philippe intervint en faveur de sa jeune belle-sœur et la reine renonça à son projet. Au début du mois de septembre, Philippe tombe malade, après avoir été blessé par une flèche selon les rapports[42]. Fratrie. Placer une limite au règne d'un monarque constitue à l'époque une condition extraordinaire et sans précédent[21]. Lui et la famille maternelle de Jeanne parviennent à un accord le 27 mars 1318. Le rôle de Philippe est désormais reconnu[19]. Philippe soutient activement son cousin Valois dans les premières années de la guerre de Cent Ans. Sa présence au conseil de Philippe VI pendant plusieurs mois en 1328 l'a certainement aidé à se familiariser aux prérogatives et devoirs d'un monarque. Nicolas Rolin fut chancelier de Bourgogne durant près de quarante ans (de déc. La noblesse locale est agitée par cette décision et une nouvelle armée de 200 troupes est envoyée sous le commandement de Guillem Arnalt de Irumberri y rétablir l'ordre. » Il réunit en tout cas, sous sa main de fer dans un gant de velours, un ensemble de fiefs, seigneuries et évêchés satellites ou inféodés, qu'on va très vite appeler les Pays-Bas bourguignons, ou « pays de par-deçà ». Richard retenu captif, le roi de France envahit la Normandie mais bien vite le roi d'Angleterre revint sur ses terres et infligea revers sur revers à Philippe Auguste. Le duc de Bedford, frère puîné de Henri V, va donc assurer la régence du royaume de France et c'est lui qui, jusqu'à son décès en 1435, mènera, à la tête des troupes anglaises occupant la moitié Nord de la France, le combat contre les partisans « légitimistes » de Charles VII (car, huit jours après la mort de son père Charles VI, le dauphin Charles s'est lui-même proclamé roi de France, à Bourges, le 30 octobre 1422). Les deux époux règnent avec efficacité et énergie sur leur trône navarrais. Le couple réside principalement dans ses domaines en France mais passe suffisamment de temps en Navarre pour y être populaire. Dès cet instant, le jeune roi commence une politique d'expansion du domaine royal, restreind par les actes de son père à la région parisienne. Après ce sermon, le roi de France prend la croix et, avec le roi de Navarre, le duc de Brabant, le duc de Bourgogne et le duc de Bourbon, fait vœu d'aller en Terre sainte afin d'y ressusciter le royaume de Jérusalem[38]. Philip je l'ai trouvé aucune aide, que ce soit de Roi d'Angleterre, Henri II, ou par "empereur, Federico Barbarossa, Il a été forcé de venir à bout; le conflit, selon Patrick van Kerrebrouck a été médiatisée par Philippe II de France, avec le traité de Boves la 1185, ratifié en Amiens, en 1186 Eleonora obtenu pour lui-même le Valois, Philippe II Auguste ont Amiens et beaucoup d'autres domaines, alors que je suis allé à … Il a aussi vécu la Seconde Guerre mondiale. Une dispense papale est nécessaire pour le mariage de Jeanne et de Philippe d'Évreux, car Jeanne a à peine 7 ans au moment des noces. Pierre IV épouse finalement Marie, sœur cadette de Jeanne, qu'il préfère. Jeanne est ensuite confiée à la garde de la reine Marie de Brabant, la grand-mère de Philippe d'Évreux qui vit retirée dans son douaire à Mantes[4]. La mort de Richard Cœur de Lion en avril 1199 ouvrit une période troublée, car sa succession fut disputée entre son dernier frère, Jean sans Terre, et leur neveu, le jeune Arthur de Bretagne, fils de Geoffroi, tandis que Philippe Auguste profitait de ces dissensions et de la faiblesse de son nouvel adversaire, le roi Jean, pour s'attaquer aux domaines continentaux des Plantagenêts. On est en pleine Guerre de Cent Ans. Henri le Jeune affronta brièvement son frère Richard en 1183 sur la question du statut de l'Angleterre, de la Normandie et de l'Aquitaine [27]. Ce dernier refuse de rendre l'hommage à Philippe, qui envoie Juan de Rosas, châtelain de Saint-Jean-Pied-de-Port, occuper Garris, le chef-lieu de Mixe, et administrer ce territoire en son nom. Si la réconciliation, au moins politique, entre Philippe le Bon et Charles VII facilite grandement, pour ce dernier, la reconquête de son royaume sur les Anglais, le duc de Bourgogne, toujours judicieusement conseillé par son chancelier3 Nicolas Rolin, va, lui, se consacrer à l'expansion vers le Nord de la puissance bourguignonne. Le "premier ministre" de Philippe le Bon, en somme. De 1328 à 1331, Philippe III et Philippe VI de Valois correspondent avec le roi Alphonse XI de Castille à propose d'une croisade contre le royaume de Grenade mais cette idée est progressivement abandonnée à cause de la réticence du roi de France[37]. Sa veuve reçoit en novembre une lettre de condoléances du pape Clément VI[44]. Philippe le Bon lui accorde l'hospitalité au château de Genappe. Pendant le règne de Louis XVI, il tente de se faire passer pour un partisan des réformes. En échange, il leur cède les comtés de Longueville, de Mortain et d'Angoulême[13]. Il faudra attendre le début du règne de Louis XI, pour que le nouveau roi de France concède définitivement le duché de Luxembourg à son bel oncle2. Philippe d'Évreux (27 mars 1306 – 16 septembre 1343), surnommé « le Noble » ou « le Sage », est comte d'Évreux et, du chef de son épouse, roi de Navarre de 1328 à sa mort, sous le nom de Philippe III. Le jeune homme, d’une élégance naturelle, bien que désargenté, s’exécute si bien que les jeunes filles tombent sous le charme. En août 1328, Philippe III, alors reconnu roi de Navarre depuis seulement quelques semaines, est au côté du roi de France Philippe VI pour mener la répression de la révolte des Karls[31]. Philippe est entièrement ignoré mais il est déterminé à établir sa propre autorité[15]. Étienne décide alors de payer les troupes du jeune prétendant à sa place pour se débarrasser de lui [5]. En 1179, il le fait sacrer roi à Reims, et épuisé par la maladie, lui abandonne le pouvoir. Henry le jeune roi et sa sépulture en la cathédrale de Rouen. Charles meurt lui aussi sans héritier mâle le 1er février 1328, ce qui met fin à la ligne des Capétiens directs[8]. Il était alors marié avec Isabelle de Hainaut, une descendante de Charlemagne. PORTRAIT DU ROI. Au mois de juin 1335, tandis que Philippe III se trouve en France, la Navarre subit une série de raids de la part de la Castille.