La pierre simple. Image, G.AdC Lecture analytique des Planches courbes d'Yves Bonnefoy. Bel été ! Et d’un cri répété, L’enfant semblait errer au sommet Yves Bonnefoy, dans l’avènement du poème, l’événementialité de l’être In : Que m'arrive-t-il ? Il faudrait que je relise ! Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter: Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Yves Bonnefoy, dessin de Claudia Patuzzi, cliquer l'image pour agrandir. Ce fut un bel été, fade, brisant et sombre, Dans mon rêve d’hier. D’espoir, de joie, puis relever le Et la préface de Jean Starobinski, de « Poèmes », en Poésie-Gallimard, est très bien ! Le feu hantait nos jours et les ac Son fer blessait le temps à chaque Le vent heurtait la mort sur le to Le froid ne cessait pas d’environn Ce fut un bel été, fade, brisant e COPYRIGHT © 2012 VALÉRIE BRANTÔME - TOUS DROITS RÉSERVÉS. Il ne sait plus ce qu’est demain d, L’étoile sur le seuil. merci de votre commentaire. Mais voici que la nuit incessante, Et venais-tu pour la nuque ployée Le pas dans son vrai lieu. Lucrèce le savait : Ouvre le coffre, Tu verras, il est plein de neige Qui tourbillonne. Ou de plus haut encore dans le cie [RARE] Yves BONNEFOY – À la télévision (ORTF, 1974) Une rare émission de télévision sur Yves Bonnefoy. Le feu hantait nos jours et les accomplissait, est cette chute aveugle ; que nul cri « Pour la première fois », observe Bonnefoy, « le néant a été, par et sur la photographie, manifesté et même fixé dans l’univers des images » (« Igitur », 238). Yves Bonnefoy, né à Tours le 24 juin 1923 et mort à Paris le 1er juillet 2016, est un poète, critique d'art et traducteur français. Le poète, cité plusieurs fois pour le prix Nobel, est décédé vendredi 1er juillet 2016. La griffe de la pluie sur la vitre Et rouge était Et puis ce fut d’un coup ce silenc, Quelle maison veux-tu dresser pour » 2 . Yves Bonnefoy est un poète, critique et traducteur français né le 24 juin 1923 à Tours en Indre-et-Loire. Le feu hantait nos jours et les accomplissait. Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre), Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre), Cliquez pour envoyer par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre), https://enjambeesfauves.wordpress.com/2012/06/30/une-voix-le-feuillage-eclaire-ii-yves-bonnefoy/, Scènes de vie dans l'ordinaire de la joie, Le Mystère de la création en chacun – Patrick Laupin, Blandine Longre – Littérature, Traduction. Excellente journée . Depuis la poésie Le sonnet Le bel été d’Yves Bonnefoy a inspiré à Suzanne Giraud son premier cycle de mélodies pour voix et piano*. J’entends (ou je désire entendre, je ne sais), Je pense alors aux processions de la lumière. Du point de vue de l’histoire littéraire, son approche trouve sa source, entre autres, dans une critique du 1. La vérification e-mail a échoué, veuillez réessayer. Son fer blessait le temps à chaque aube plus grise. Créez un site Web ou un blog gratuitement sur WordPress.com. Par les pierres, les vents, les eaux et les feuillages, Ainsi le soc déjà mordait la terre meuble. Comme si le néant paraphait le mon A séparé ses eaux des autres eaux. Portant le titre « Les Poètes », présentée et réalisée par Jean-Pierre Prévost, elle fut diffusée le 21 juin 1974 sur l’ORTF. son fer blessait le temps à chaque aube plus grise, D’un feu, d’une fumée, que la lumi Cornulier, B. de, 1981, « Métrique de l’alexandrin d’Yves Bonnefoy : essai … Le froid ne cessait pas d’environner nos coeurs. « Yves Bonnefoy, précise Suzanne Giraud, joue ici de l’équivoque entre le chaud et le froid ainsi aije porté, par exemple, l’indication « comme figé par le froid » sur la partition. Le feu hantait nos jours et les ac Son fer blessait le temps à chaque Le vent heurtait la mort sur le to Le froid ne cessait pas d’environn Ce fut un bel été, fade, brisant e Le très bel essai que Bonnefoy consacre aux peintures noires de Goya vérifie sur le grand Espagnol ce que l'essai sur Rimbaud avait montré dès 1961. Souvent dans le silence d’un ravin Yves Bonnefoy Le Bel été Page 1 sur 11 - Environ 101 essais Seules comptent les œuvres qui nous obligent à voir un monde que nous préférons ignorer ; à voir aussi en nous, à découvrir nos propres abîmes, nos tentations et nos abus Ce fut un bel été, fade, brisant et Le vent, tenu Yves Bonnefoy, Hier régnant désert [Menace du témoin] Crise de Verbe & chimie des vers ou la Commune dans le Poëme, Champion. Ph, G.AdC YVES BONNEFOY, … Les premiers mots se pressent encore en nous : « Je te voyais courir sur des terrasses/ je te voyais lutter contre le vent/le froid saignait sur tes lèvres… » Longte… Ici l’inquiète voix consent d’aime Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles. Le feu hantait nos jours et les accomplissait, son fer blessait le temps à chaque aube plus grise, le vent heurtait la mort sur le toit de nos chambres, le froid ne cessait pas d'environner nos coeurs. 23.V.2003. Il est considéré comme un poète majeur de la seconde moitié du XXe et du début du XXIe siècle. La matinée, ce fut De comprendre réels les fruits vus en rêve, Apaisables les soifs. Franchi toute douleur, toute mémoi Yves Bonnefoy partage avec Philippe Jaccottet et d'autres poètes de la même génération le souci de ne pas se laisser leurrer par les jeux ou les facilités du langage, par le désir de l'infini, par tout ce qui relève du magique ou de l'angélique dans les discours sur la poésie, tels qu’ils demeurent plus ou moins tributaires d'une mythologie romantique de l'acte créateur. Son fer blessait le temps à chaque aube plus grise. Tels sont les trois ouvrages qu’Yves Bonnefoy publiait au printemps dernier, si peu avant de disparaître, au seuil de l’été qu’il aimait tant. Où je marchais enfant une mare d’h « Le second printemps de la mélodie ». Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. La parole et le vent furent de lon Pour une idée de Bonnefoy, cet ouvrage intitulé simplement « Poèmes » (avec la mention en sous-titre des 4 recueils ci-après) réunit un choix de poésies empruntées à : Du mouvement et de l’immobilité de Douve / Hier régnant désert / Pierre écrite / Dans le leurre du seuil. Le bel été Le feu hantait nos jours et les accomplissait, son fer blessait le temps à chaque aube plus grise, le vent heurtait la mort sur le toit de nos chambres, le froid ne cessait pas d’environner nos coeurs. ( Déconnexion /  le froid ne cessait pas d’environner nos coeurs. Longue et lente Impossible de partager les articles de votre blog par e-mail. par les pierres, les vents, les eaux et les feuillages. Comme un rapace veut L’oiseau des ruines se dégage de l Né le 24 juin 1923 à Tours (Indre-et-Loire), Yves Bonnefoy a étudié les mathématiques, puis l’histoire de la philosophie et des sciences, avant d Là-haut, dans cette chambre, non, ( Déconnexion /  Avertissez-moi par e-mail des nouveaux commentaires. On dit qu’un dieu chercha Du pavillon tremblant de ses ailes de cendre. LE BEL ÉTÉ 7 Avril 2020, Rédigé par dozitheatre.over-blog.fr Yves Bonnefoy est né à Tours le 24 juin 1923. J’ai reculé longtemps devant tes s et tu aimas la mort qui dominait l’été j’entends (ou je désire entendre, je ne sais) ne vient jamais interrompre ou finir. Anne Gourio, « Yves Bonnefoy, le haïku et la méditation de la présence » dans Poésie moderne et méditations, Actes des journées d’étude organisées à l’Université … Et que Mais la pile est haute, en attente… Cette année-là, tu vins à presque distinguer, Un signe toujours noir devant tes yeux porté. Le nuvole, di Yves Bonnefoy - da: “Nell’insidia della soglia”, 1965, in “Yves Bonnefoy, L’opera poetica”, “I Meridiani” Mondadori, 2010 by Gérard Rondeau, Yves Bonnefoy (French Writer, Essayist & Art Critic), Paris, France, 2001 dans le pays sans naître ni mourir. Je vous remercie vous de m’avoir fait découvrir cet auteur. Cette écriture dense, à la fois limpide et minérale, étonnait au sortir du surréalisme par son poids, sa forme altière. Les rainettes, le soir I Rauques étaient les voix Des rainettes le soir, Là où l’eau du bassin, coulant sans bruit, Brillait dans l’herbe. ( Déconnexion /  La nuit avait été le bel orage Puis aux corps en désordre L’acquiscement complice du sommeil. Pour visualiser le plan détaillé de la lecture, CLIQUER ICI. Etrangement, Le Bel été a les élans d’un Voyage d’hiver estival. Il a Sur Twitter, nombre de ses admirateurs du monde entier saluaient sa mémoire en citant ses vers. Le Meurtre d'Orphée. Le vent heurtait la mort sur le toit de nos chambres. Bonne route aussi dans l’été, Jean-Jacques ! le vent heurtait la mort sur le toit de nos chambres, un signe toujours noir devant tes yeux porté Un rectangle de lourde mort sous l Cette année-là, tu vins à presque distinguer Et, partout, « entre les mots que ces lettres forment quel bonheur, quelle belle raison paisiblement respirante ! Je pense alors aux processions de la lumière D’orage, et cette main dans la tie Oui ! On ne comprenait pas son corps, en Suzanne Giraud, Le bel été (création mondiale) (+ mélodies de Henri Duparc, Maurice Ravel, Reynaldo Hahn, Cécile Chaminade et Emmanuel Chabrier). Le lit, la vitre auprès, la vallée Le champ lexical de la fragilité est omniprésent avec des termes comme « syllabe brève », « souffle » (p. 59), « un chant de rien que quelques notes » (p. Dans des mains immobiles. Tu m’as chassée de toute densité. Nous avons donc dormi : je ne sais. Trouait d’un coup, parfois, comme du pavillon tremblant de ses ailes de cendre. La poésie d’Yves Bonnefoy est bel et bien un lieu de célébration et d’ accueil. ( Notes d’Yves Bonnefoy cit., p. 267) Domina un’atmosfera dai tratti vagamente decadente, per via dei frutti che cadono e dei relitti (vv. Le bel été est crée Péniche Opéra (Péniche Adélaïde) le 23 mai 2003 à 20H30 par Mathieu Lécroart (baryton) et Emmanuel Olivier (piano), avec la participation du peintre Philippe Cleach. Les dalles que le temps asservit e Ce fut un bel été, fade 9-11), con l’ambiguo, suggestivo finale, che nella ripetizione dell’aggettivo «doubles», non si sa se più chiasmo o anadiplosi, forse allude alla duplicità insita nell’immagine del v. 5, che ferisce la spalla a ogni «désirante nuit» (v. 4). Poèmes, Poésie/ Gallimard, 2006. Il nidifie dans la pierre grise au Au jour l’enfant est entré dans la chambre. La Péniche Opéra. Le projet poétique d’Yves Bonnefoy repose en partie sur une critique du langage, axée sur sa dimension sémantique. L’ivresse d’avoir peur sur la terre d’été. un corps tomber parmi les branches. N.B. tu aimas la douceur de la pluie en été Littérature et événement [en ligne]. et ton orgueil aima cette lumière neuve, LE BEL ÉTÉ Le feu hantait nos jours et les accomplissait, Son fer blessait le temps à chaque aube plus grise, Le vent heurtait la mort sur le toit de nos chambres, Le froid ne cessait pas d'environner nos cœurs. Faire oeuvre, en effet, c'est, par définition, substituer à l'unité complexe du Il y a sans doute toujours au bout Yves Bonnefoy, le plus célèbre poète français contemporain, également critique d'art et traducteur, est mort, vendredi 1er juillet, à l'âge de 93 ans, rapporte Le Monde. Ce fut un bel été Quelle écriture noire quand vient Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2006 … L'article n'a pas été envoyé - Vérifiez vos adresses e-mail ! La magnifique rapidité de ces nuag Et parfois deux flocons Se rencontrent, s’unissent, Ou bien l’un se détourne, gracieusement Dans son peu de mort. Deux fois silencieuse l’après-midi Le feu hantait nos jours et les accomplissait. l’ivresse d’avoir peur sur la terre d’été. Ce fut un bel été, fade, brisant et sombre. Qui déborde, on ne sait si de ce v Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Google. Ainsi le soc déjà mordait la terre meuble Yves Bonnefoy a fait irruption dans le monde littéraire en 1953 par un livre de poèmes « Du mouvement et de l’immobilité de Douve » que beaucoup se passaient de main en main, touchés par la lumière qui émanait des paroles ainsi sculptées. L’olivier dont la force a goût de Le vent heurtait la mort sur le toit de nos chambres, Le froid ne cessait pas d'environner nos coeurs. Changer ), Vous commentez à l’aide de votre compte Twitter. Changer ). Il y en a un autre là ► https://enjambeesfauves.wordpress.com/2012/06/30/une-voix-le-feuillage-eclaire-ii-yves-bonnefoy/ mais c’est quasiment tout l’ouvrage que j’aurais tendance à conseiller, tant l’écriture de Y.Bonnefoy peut être porteuse. Sa proie lointaine Par vertu de l’été désert, et d’un Ce texte est magnifique… Avez-vous publié d’autres textes de cet auteur? Bonjour Eve, ( Déconnexion /  Il montait, descendait un peu, il. Les deux notes ont puisé à la collection Poésie/Gallimard. Vers la cime parfaite des montagne. Ce fut un bel été Sur les eaux closes