La présence de joueurs bretons devient quant à elle principalement le fait du centre de formation. Le 30 avril 2020, la LFP vote officiellement la fin des championnats professionnels de Ligue 1 et de Ligue 2[82]. Comme le Roazhon Park, le centre d'entraînement est la propriété de la ville de Rennes[265], qui le loue au club. En 1932, alors que le Stade rennais UC adopte le professionnalisme, le REC reprend ses activités[107]. Produit culinaire spécifique au pays rennais, la galette-saucisse est également devenue un incontournable pour les supporters lors des matchs du Stade rennais FC[104]. Carrière internationale en cours, mise à jour du nombre de sélections au 30 mars 2011. En revanche, il n'a encore jamais été sacré champion de France. Dans l'impasse, le Stade rennais FC ne convainc pas et se bat plusieurs saisons de rang contre la relégation. Il s'installera en haut du classement, mais mettra 21 ans à ajouter une nouvelle ligne à son palmarès en remportant la Coupe de France en 2019 face au Paris Saint-Germain, après trois finales perdues dans les coupes nationales en 2009, 2013 et 2014. La plus large victoire obtenue par le Stade rennais FC en Division 1 est acquise à domicile face au Cercle athlétique de Paris le 15 octobre 1933 sur le score de 8-2. Pendant près de quarante ans, entre 1965 et 2004, le record établi le 11 novembre 1965 pour un match de championnat face au FC Nantes était de 28 148 spectateurs[253]. Le poste d'entraîneur de l'équipe première du Stade rennais FC est occupé par Bruno Génésio. Jean Batmale est l'entraîneur ayant dirigé le Stade rennais FC pendant le plus grand nombre de saisons, huit au total, mais sur deux périodes distinctes. « Présidents : l'impulsion de Girard et Rohou ». En effet, le recrutement le plus cher est à l'actif de l'attaquant belge Jérémy Doku, dont l'indemnité de transfert atteint les 26 millions d'euros, en provenance du RSC Anderlecht[141]. De 1933 à 1982, l'ensemble des entraîneurs du club ont pour point commun d'avoir disputé comme joueur des matchs pour le Stade rennais FC[note 18]. Après avoir pris son indépendance vis-à-vis de la structure omnisports pour prendre son nom actuel en 1972, la section football connaît une longue traversée du désert sportive, ponctuée de graves difficultés financières. Suivent dans ce classement Jean Prouff, avec treize matchs sur un total de dix-sept capes, qui est le capitaine de l'équipe de France lors de trois de ses quatre dernières sélections, honorées alors qu'il évolue au Stade de Reims[179], et l'attaquant Jean Grumellon, dont les dix sélections sont toutes obtenues pendant sa carrière rennaise[180]. Le Stade rennais FC est l'un des vingt clubs qui disputent le premier championnat de France professionnel de l'histoire en 1932-1933. Ancien joueur du club[151] et mosaïste renommé[152], Isidore Odorico en devient l'un des dirigeants dès 1925[153]. Inauguré le 15 septembre 1912, le parc des sports de la route de Lorient est spacieux, et doté d'une première tribune en bois, située côté Vilaine[14]. Le Stade rennais Football Club est un club de football français, fondé en 1901 et basé à Rennes.. Dans un premier temps club omnisports et évoluant avec les couleurs bleu ciel et bleu marine, il porte le nom de Stade rennais jusqu'à sa fusion avec le Football Club rennais en 1904.De ce fait, il devient le Stade rennais Université Club et adopte les couleurs rouge et noir du FC rennais. Nombreux sont alors les exemples de joueurs venus à Rennes allier études et pratique du football, comme André Le Menn (étudiant en odontologie), Raymond Keruzoré (chimie) ou Philippe Redon (pharmacie)[227]. Enfin, le poste de gardien de but est occupé par Pierrick Hiard, international formé au club, qui y réalise l'essentiel de sa carrière sportive entre 1973 et 1991 avant d'intégrer l'encadrement technique[174]. En plus du terrain d'honneur, il comprend également plusieurs terrains annexes permettant la tenue d'entraînements et de matchs[251]. L’ancien entraîneur de Lyon, Bruno Genesio, devrait s’installer sur le banc du Stade Rennais dès le match à Marseille, le 10 mars. Involontairement, le Stade rennais FC inspire au club turc d'Eskişehirspor l'adoption des couleurs rouges et noires. Entre 1904 et 1914, les deux clubs se partagent les titres de champion de Bretagne, et leurs confrontations sont souvent féroces. Ces bons résultats demeurent sans lendemain. Le match, pauvre en occasions, mais globalement dominé par les Bretons, bascule peu après l'heure de jeu. Historiquement, la plupart des confrontations ont été remportés par les Nantais, avec plusieurs séries d'invincibilité côté Nantais, dont la plus longue constitue 17 matchs sans défaite d'affilée à domicile. Ses dirigeants remarquent alors la couverture d'un exemplaire du magazine Paris Match, qui présente les joueurs rennais vainqueurs de la Coupe de France en 1965. Benjamin Keltz, « Comment Pinault a racheté le Stade rennais ». Olivier Monterrubio est lui sacré meilleur passeur de Ligue 1 trois saisons de suite, en 2004, 2005 et 2006[131]. Trois ans plus tard, quand le Stade rennais fusionne avec le Football Club rennais, il adopte les couleurs du second, de création plus ancienne[note 5], avec un maillot rouge et noir, rayé verticalement[10]. Ceux-ci obtiennent une représentation parmi les dirigeants du club, le président de l'association des étudiants devenant ainsi vice-président du SRUC. Depuis les années 1970, les différents blasons qui se succèdent reprennent plusieurs mêmes éléments, avec deux hermines blanches enserrant un ballon de football, sur un fond rouge et noir. À partir des années 2000, sous l'impulsion de son président Emmanuel Cueff, le Stade rennais FC décide de multiplier l'utilisation d'éléments faisant référence à son identité bretonne[92]. Huit autres le sont dans une période allant de 1958 à 1970. Entre-temps, le succès acquis en Coupe de France avait permis au Stade rennais UC de disputer pour la première fois une compétition continentale, mais dès le premier tour de la Coupe d'Europe des vainqueurs de coupe, les Bretons sont éliminés par le Dukla Prague et son ballon d'or Josef Masopust (0-2 au match aller à Prague, 0-0 au match retour à Rennes)[52]. Après avoir été menés deux buts à zéro, les Rennais égalisent (2-2) avant finalement de s'imposer aux tirs au but (6-5), mettant fin à 36 années sans trophée (le dernier étant le titre de champion de France de Division 2 remporté en 1983). Le kop lutte également pour un football populaire (fumigènes autorisés, anti-foot business...) et prend part aux actions nationales avec d’autres groupes. Il est remplacé le 3 novembre 2017 par Olivier Létang, auparavant directeur sportif du Paris Saint-Germain. À la fin de la saison 2018-2019, l'EA Guingamp ne parvient pas à battre le Stade rennais FC au Roazhon Park (1-1), après un penalty manqué par Marcus Thuram. Ligue 1 PSG - LOSC : le résumé et les tops/flops (vidéo) Le LOSC s'empare de la tête de la Ligue 1 ! C'est ainsi que signe au Stade rennais UC le milieu de terrain Jaroslav Bouček, qui dispute par la suite les coupes du monde 1934 et 1938, cette dernière comme capitaine de l'équipe de Tchécoslovaquie[223]. Dans un premier temps club omnisports et évoluant avec les couleurs bleu ciel et bleu marine, il porte le nom de Stade rennais jusqu'à sa fusion avec le Football Club rennais en 1904. 29 490 spectateurs garnissent alors les travées du Stade de la route de Lorient[269],[270]. La rivalité entre le FC Nantes et le Stade rennais FC ne s'est pas construite entre deux équipes luttant l'une contre l'autre pour l'obtention d'un titre, mais plutôt sur le déséquilibre existant entre une équipe ayant gagné de nombreux titres sur la scène nationale entre le milieu des années 1960 et le début des années 2000, et une équipe qui a longtemps dû se résoudre à vivre dans l'ombre de son voisin. En 1986, une rénovation est mise en œuvre, visant à reconstruire l'ensemble des tribunes du stade pour lui donner une capacité d'accueil de 33 000 places. Jérôme Leroy obtient lui aussi cette distinction, en 2008[132]. Parmi ces deux générations, plusieurs joueurs intègrent rapidement l'équipe première, dont trois futurs joueurs de l'équipe de France : Jimmy Briand[183], Yoann Gourcuff[219] et Yann M'Vila[178]. En tant qu'association, elle possède un président, Pierre Rochcongar[240], à sa propre personnalité juridique, vérifie et approuve ses comptes, procède à l'acquisition de mobilier et de matériel pédagogique, et peut modifier ses statuts[294]. En parallèle, le club bénéficie d'une modernisation spectaculaire de ses infrastructures, avec la rénovation complète du Stade de la route de Lorient et la création du centre d'entraînement de la Piverdière[72]. Non loin du boulevard Voltaire, à l'Ouest du centre-ville. « 1901-1940 : le duel avec Saint-Servan ». Pour autant, le SRFC échappe de peu à la relégation en 1998, ne se sauvant que lors du dernier match de la saison, sur un but tardif de Kaba Diawara[68]. Les travaux débutent par la construction d'une nouvelle tribune en béton côté route de Lorient, abritée par de grandes toiles soutenues par une charpente métallique[255],[256],[257]. Depuis, le Stade rennais FC évolue traditionnellement dans un maillot rouge à parements noirs, avec un short et des chaussettes noires, les équipementiers faisant régulièrement évoluer les motifs utilisés. Déséquilibré dans la surface, le Rennais André Guy obtient un penalty qu'il se charge lui-même de convertir en but. Le joueur ayant disputé le plus grand nombre de rencontres officielles sous le maillot du Stade rennais FC est le défenseur Yves Boutet : il dispute 394 matchs entre 1955 et 1967[127]. Localisation indicative : Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici. En 1918, Ernest Folliard est l'un des éléments moteur de la création de la Ligue de l'Ouest de football association (LOFA)[148], qui supplante rapidement le comité régional de l'USFSA. Elle reçoit ainsi régulièrement un soutien financier du Crédit mutuel de Bretagne[295],[296],[297]. Les années 2000 sont celles où l'instabilité est la plus forte, puisque quinze techniciens se succèdent de Paul Le Guen à Bruno Génésio. Nombre de contrats professionnels signés. Ce dernier a la responsabilité de l’ensemble de la politique sportive du club, de la formation à l’équipe professionnelle[165]. Le joueur passé au club ayant obtenu le plus de capes internationales est Sylvain Wiltord, sélectionné à 92 reprises entre 1999 et 2006. L'objectif est de contrer la concurrence de l'Union sportive servannaise, club malouin principalement composé de joueurs britanniques[2], et qui s'avère un redoutable rival[9]. En 1987 est créée l'association ETP Odorico, qui gère l'hébergement et la scolarité des jeunes joueurs[293]. Sous la conduite de László Bölöni, puis sous celle de Pierre Dréossi, le Stade rennais FC se stabilise dans le haut du classement de Ligue 1 et devient un prétendant régulier aux places européennes. Créé en 1965 par la fusion de trois clubs, Eskişehirspor doit alors choisir ses nouvelles couleurs. Combinée aux recrutements de joueurs comme Alexander Frei, Petr Čech ou Kim Källström, la jeunesse rennaise parvient à obtenir de meilleurs résultats, jusqu'à décrocher une quatrième place synonyme de qualification pour la Coupe UEFA en 2005[77]. Nombre de présidents du club sont hommes d'affaires ou issus du monde politique. Le Stade Rennais, dirigé par Philippe Bizeul, se déplace à Lyon ce mercredi (19 h) pour le compte de la 28e journée de Ligue 1. À la suite de l'arrivée à sa tête du groupe Pinault, le Stade rennais FC lance en 2002 une politique de formation qui vise à obtenir un effectif professionnel composé à 50 % de joueurs formés au club[283]. Cette mutation permet au Stade rennais FC de récupérer une partie du montant ainsi qu'une indemnité de formation (près de 10 millions d'euros). L'entraîneur ayant dirigé le plus de matchs du Stade rennais FC est Jean Prouff avec un total de 304 rencontres entre 1964 et 1972. Le Stade rennais en est l'un des membres fondateurs, et dispute le premier championnat régional, dont le Football Club rennais est le premier lauréat[7]. « P. Delamontagne, le meneur de talent ». Par le jeu d'une professionnalisation croissante, et à la suite de la création du centre de formation à la fin des années 1970, le nombre de joueurs à mener des études supérieures en parallèle à leur carrière sportive va en décroissant. Il signale sa présence par des chants, des bâches, des drapeaux ou encore des tifos. Partie consacrée à l'avancée de l'opération "Tribune Rouge" 11: 3 775: 23-02-2015 18:27:54 par Nicopicolo: 2. À compter de l'application de l'arrêt Bosman en 1996, cette présence étrangère explose, dans la foulée de ce qui se fait ailleurs en France[230]. Recruté à Vienne en 1933, Franz Pleyer est naturalisé français sous le nom de François Pleyer en décembre 1936[224], et fait l'ensemble de sa carrière au club aussi bien comme joueur que comme entraîneur, recruteur ou secrétaire[225]. Ainsi, s'étalant sur des décennies, la liste des joueurs du Stade rennais FC passés sur les bancs universitaires reste innombrable[109]. À travers ses animations, ses chants et ses gadgets, le RCK représente également son identité bretonne et celtique, la Bretagne étant pour les Rennais une culture importante à afficher. En 1912, il emménage sur un terrain situé au bord de la Vilaine, sur lequel est érigé l'actuel Roazhon Park. Le 10 mars 1901, plusieurs anciens étudiants fondent un club omnisports qui prend le nom de Stade rennais. Entre 1999 et 2004, le stade de la route de Lorient est une nouvelle fois rénové pour prendre sa forme actuelle. Ces rivalités sont entretenues par la solide culture football qui s'est développée en Bretagne dès le début du XXe siècle et qui s'est matérialisée par la création de nombreux clubs partout dans la région. Le stade rénové possède une capacité d'accueil théorique de 31 127 places, mais de 29 193 places en pratique[263], ce qui en fait le seizième stade français sur ce critère. Le Stade rennais FC est dirigé par un conseil d'administration dont le président actuel est Jacques Delanoë. Le 5 octobre 2020 est conclut l'arrivée la plus onéreuse de l'histoire du Stade rennais FC. En 1993, Michel Le Milinaire succède à Didier Notheaux. Dès les années 1920, le Stade rennais UC fait le choix de l'ouverture à des joueurs venus d'horizons divers. Toutefois, ces blasons n'apparaissent de façon pérenne et systématique sur les maillots des joueurs que depuis 1996[88]. À l'été 2017, Ousmane Dembélé est transféré au FC Barcelone contre 145 millions d'euros, bonus compris. Au début du XXe siècle, le blason du Stade rennais FC présente ainsi une moucheture d'hermine, qui trouve son prolongement dans les années 1960 avec un blason reprenant partiellement les armes de la ville de Rennes. Sous l'impulsion de son président Isidore Odorico[25], le Stade rennais UC accède au professionnalisme dès son autorisation en 1932, et s'engage dans le premier championnat de France. Les origines du Stade rennais remontent à 1901, alors que la pratique du football prend peu à peu son essor à Rennes et en Bretagne[2], après s'être largement diffusé en région parisienne, en Normandie et en Nord-Picardie[3]. Opposés au Red Star tenant du titre, les Rennais doivent s'incliner (0-2)[20]. Avec trois buts inscrits dès la première mi-temps, l'Olympique de Marseille s'impose facilement (0-3), et le Stade rennais UC repart de nouveau bredouille[28],[29]. Le tableau suivant donne la liste actualisée au 17 novembre 2020 des joueurs du Stade rennais FC en équipe de France, le nombre de sélections, de but et la période correspondante, ainsi que le nombre total de sélections et de but en incluant les périodes où le joueur était dans un autre club. Une autre rivalité est apparue à partir des années 2000 avec le FC Lorient. Paris 0 - 1 Terminé Lille. La municipalité, propriétaire majoritaire depuis 1987 dans le capital du Stade rennais FC[70], lui cède progressivement ses parts sur une période de trois années[69],[71]. Avec une nouvelle génération de joueurs menée notamment par Sylvain Wiltord[67], le club remonte en Division 1 et parvient à s'y maintenir, obtenant même une qualification pour la Coupe Intertoto en 1996. Lors de rencontres à domicile, la plus grosse défaite rennaise est concédée le 18 mai 1947 face au RC Strasbourg (1-6)[138]. Adaptation d'une chanson de supporters marseillais dédiée au pastis, elle a depuis été adoptée par le club[105],[106]. Le 26 mai 1965 au Parc des Princes, le Stade rennais UC bat finalement Sedan, après avoir été une nouvelle fois mené au score, grâce à un but de Marcel Loncle et un doublé de Daniel Rodighiero (3-1)[46],[47]. En 2009-2010, le Stade rennais FC compte ainsi dans son effectif professionnel des joueurs issus de quatre continents différents[note 27]. Le statut de ville universitaire de Rennes y joue un rôle notable, permettant d'attirer de jeunes joueurs de tout le Grand Ouest[226], d'autant que le club est longtemps le seul de la région à avoir un statut professionnel et l'expérience de la Division 1[note 26]. Dans son étude, il attribue au Stade rennais FC une position intermédiaire, mélange d'identité régionale forte et d'ouverture vers l'extérieur, à mi-chemin entre l'ancrage régional d'un club comme Sedan et le cosmopolitisme du Paris Saint-Germain. Au cours de cette période, dès 1932, le club accède également au statut professionnel. Le début des années 1980 voit le Stade rennais FC remonter peu à peu la pente sous la direction de son entraîneur Pierre Garcia, et redevenir un prétendant à la montée en Division 1. Le RCK agit de manière autonome, avec le soutien financier mais sans l’influence du club (notamment pour les tifos), ou de n’importe quelle autre structure. Le budget alloué à la formation est alors quadruplé pour atteindre quatre millions d'euros annuels, soit environ 10 % du budget du club[284],[285]. La saison 2015-2016 de Ligue 1 est la 78e édition du championnat de France de football et la quatorzième sous l'appellation « Ligue 1 ». Le rattachement de Nantes à la Bretagne demeure à ce titre un sujet de débat au sein du kop, avec convergence de rivalité avec le club rival voisin, mais volonté de réunification de la Bretagne historique[319]. L'attaquant le plus efficace de l'histoire du club est Jean Grumellon, qui marque un total de 154 buts avec le Stade rennais FC de 1947 à 1952 et de 1954 à 1956[128], dont 107 buts en Division 1[129]. Entre 1998 et 2014, la prise de contrôle d'Artémis influence largement la nomination des présidents du club. Benjamin Keltz, « Les astuces financières de Rampillon », Bilan saison par saison du Stade rennais FC, Union des sociétés françaises de sports athlétiques, premier président de la cour d'appel de Paris, procureur général près la Cour de cassation, Cour de justice des communautés européennes, Historique du parcours européen du Stade rennais FC, premier championnat de France professionnel, Championnat de France de deuxième division, Championnat de France des moins de 19 ans, Championnat de France des moins de 17 ans, Championnat de France des réserves professionnelles, Statistiques et records du Stade rennais FC, Encadrement technique du Stade rennais FC, meilleurs buteurs du championnat de France, L'Association Générale des Étudiantes et Étudiants Rennais de 1919 à 1940 : Un exemple du corporatisme estudiantin de l’entre-deux-guerres, Union des associations européennes de football, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Stade_rennais_Football_Club&oldid=181374035, Entreprise ayant son siège en Ille-et-Vilaine, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Article de Wikipédia avec notice d'autorité, Page pointant vers des bases relatives au sport, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Meilleure performance : quart de finaliste en, Meilleure performance : phase de groupes en, Meilleure performance : huitième de finaliste en, Meilleure performance : seizième de finaliste en. Soit 33 entraîneurs successifs en l'espace de 78 ans, de 1932 à 2010. Cette bibliographie présente quelques ouvrages de référence. Ce statut associatif lui permet de récolter diverses aides, et de développer ses propres partenariats[293]. Menacé, le statut professionnel du Stade rennais est sauvé grâce à une souscription publique et grâce à une subvention de la municipalité[30]. Pour les autres significations, voir, Composition des staffs techniques du centre de formation, Nombre d'abonnés sur les réseaux sociaux cumulés du club, Affirmation sur la scène nationale (1914-1932), Double victoire en Coupe de France (1964-1972), Le Stade rennais FC est l'un des clubs qui compte le plus grand nombre de saisons en, Le Stade rennais UC dispute le Challenge des champions face à l', Compétition organisée au niveau national pendant la, La Ligue de l'Ouest de football-association (LOFA) prend la suite du comité régional de l', Coupe disputée entre les clubs affiliés à la, Éditions de la compétition organisées par le comité régional de l'. Fondé par d'anciens étudiants, le Stade rennais garde durant de longues décennies un lien étroit avec l'université de Rennes, que l'on retrouve dans le nom utilisé par le club de 1904 à 1972. Retrouvez l'actualité foot et mercato sur livefoot.fr. À l'extérieur, le score record de 6-1 est atteint à deux reprises, le 22 août 1948 sur le terrain du FC Metz et le 17 mars 2001 sur celui de l'En Avant Guingamp[129]. Vingt-trois joueurs ont porté le maillot de l'équipe de France de football alors qu'ils évoluaient au Stade rennais FC, pour un total de 89 sélections. Le Stade rennais FC commence alors à s'appuyer sur son centre de formation[75], et notamment sur la génération qui remporte cette année-là la Coupe Gambardella[76]. )[46],[note 3]. Depuis le début des années 2000, ces mouchetures d'hermines sont souvent présentes sur les différentes tuniques portées par les joueurs rennais[92],[99], alors que le maillot utilisé lors des matchs disputés à l'extérieur, traditionnellement blanc et noir, reprend en 2010 un motif évoquant le drapeau Gwenn ha du[100], puis en 2012 le drapeau Kroaz du[99]. Le 26 octobre 2013, le Stade rennais FC gagne 5-0 sur le terrain du Toulouse FC. Selon Claude Loire, historien du club, les couleurs rouges et noires reflètent une double identité, laïque avec le rouge de la République française, et catholique avec un noir qui rappelle les soutanes des curés[85].