Projet global: Partenariat énergétique maroco-allemand. Source : Royaume du Maroc, Département de l’énergie et des mines, Nouvelle stratégie énergétique, bilan d’étape,2013. Politique des prix de l’énergie (subventions et fiscalité) 3. Le Royaume ambitionne d’être reconnu comme une puissance africaine émergente dans son identité comme dans son espace de projection. L‘analyse de la demande d‘énergie au Maroc et la présentation des enjeux énergétique d‘une politique d‘efficacité énergétique soutenue au Maroc constitue la partie 1 de ce rapport. Appui à la politique énergétique du Maroc (PAPEM3) Intégration optimisée des énergies renouvelables dans le système électrique. Les politiques énergétique et climatique du Maroc ont connu « des développements majeurs » au cours des dernières années selon un rapport(1) publié le 7 mai par l’Agence internationale de l’énergie (AIE). III- Les objectifs et les orientations de la politique énergétique En cofinancement, le FTP et sa banque multilatérale de développement totalisent, selon le document, près d’1,3 milliard de dollars pour les projets Noor I-III et Noor-Midelt. Le Gouvernement du Québec rend publique sa Politique énergétique 2030. La croissance de la demande d’électricité est plus forte encore et pourrait se poursuivre à un rythme moyen de 5% par an d’ici à 2021 selon l’AIE. Mais il ne correspond pas vraiment à la réalité. Avec une capacité de couverture à 32% et une production qui atteint les 55% en 2017, le charbon représente la majeure partie du mix énergétique qui couvre les besoins du Maroc. Cet indice prend en compte divers paramètres dont l'efficacité de la «politique climatique». Il est toutefois rappelé que le charbon domine encore très largement le mix électrique marocain (53,5% de la production en 2017). Une consommation d’énergie reposant à près de 90% sur les énergies fossiles Le Maroc s’est fixé des objectifs ambitieux dans le domaine des énergies renouvelables. C’est ce qui ressort du rapport Climatscope pour l’année 2018, publié cette semaine par l’institut de recherche spécialisée Bloomberg NEF. La politique énergétique du Maroc analysée par l’institut Bloomberg NEF Dans le dernier rapport Climatscope, le centre de recherche Bloomberg NEF passe au peigne fin les politiques énergétiques de 103 pays, leur taux d’utilisation d’énergies propres, ainsi que le climat d’investissement dans ce secteur. Poids des subventions dans les dépenses publiques . Une fois que la centrale thermique de Safi sera entièrement opérationnelle, cette augmentation pourra atteindre les 1,3 GW. État des lieux. Le royaume chérifien est classé deuxième pays le plus performant, occupant le 5e rang mondial. Vous n'avez pas encore de compte ? Les mosquées marocaines se tournent vers le Soleil, Solaire thermodynamique (à concentration), La transition énergétique suédoise analysée par l’AIE, COP22 : un accord de Paris « irréversible » et une nouvelle échéance. «Quelques 350 MW produits par des centrales solaires thermodynamiques vont porter la capacité solaire du Maroc à 600 MW d’ici fin 2018», indique le rapport, ajoutant que «la capacité éolienne est actuellement de 1 048 MW». Les mesures proposées dans la matrice du groupe de travail N°5 ont pu ainsi être développées et aboutir à la À ce titre, l’Agence appelle entre autres le gouvernement marocain à augmenter ses capacités de stockage de produits pétroliers. News politique_energetique Maroc. L'Indice de performance de changement climatique 2019 rendu public ce dimanche 06 janvier 2019 a placé le Maroc en très bonne position dans le monde. La politique énergétique du Maroc est « très active » et joue un rôle moteur à travers le continent africain, s’est félicité l’administrateur du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Achim Steiner, en marge de la Conférence des Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’Union Africaine (UA), qui s’est tenue du 22 au 29 janvier à Addis-Abeba. Il indique cependant que le pays a des «objectifs ambitieux pour y remédier». L'Agence Internationale de l'Energie (AIE) a recommandé de renforcer la stratégie marocaine d'efficacité énergétique actuelle par le biais d'une réglementation claire et d'incitations financières, tout en veillant à mesurer les progrès réalisés à ce jour et tirer profit des expériences des autres telle que l'Union européenne. (©Connaissance des Énergies, d’après AIE). Il est par ailleurs recommandé de faire de l’efficacité énergétique une priorité nationale avec la mise en place d’une grande stratégie dédiée à l’horizon 2030, assortie de ressources financières. Après un rappel des grandes lignes de la politique énergétique poursuivie au Maroc, la présente étude se propose d'évaluer cette politique à travers l'analyse de l'évolution des indicateurs- clés du secteur ainsi qu'à travers sa contribution à la croissance économique et aux finances publiques. La facture énergétique du Maroc liée à ces importations s’est élevée à 69,5 milliards de dirhams en 2017, soit environ 6,3 milliards d’euros. Il vise à faire avancer la transition énergé-tique, en particulier en soutenant les efforts marocains dans ce domaine. Toute l'actualité politique_energetique du Maroc et des Marocains à travers le Monde. ), permettant un fort développement des filières renouvelables à production intermittente. Soupçons d’«intelligence avec un Etat étranger» derrière... Enfants mineurs utilisés, insultes et obscénités sur les... Covid-19 : Un variant marocain et 25 mutations locales... Ryanair lance dès cet été 8 nouvelles lignes aériennes depuis... Sahara : Le Parlement allemand rejette deux motions hostiles au... Apprendre l'islam : prière, dou3a, hadith... Formalités administratives & aide juridique. Au cours de ces dix dernières années, le Maroc a amorcé sa transition énergétique avec succès. Afin de satisfaire ces ambitions, l’appareil diplomatique se développe et se modernise, tandis qu’une identité de rôle singulière émerge autour de la notion de « … Scientifique et du Ministère de l’Aménagement du Territoire National, de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Politique de la Ville. Le premier est de porter la capacité de la production électrique d’origine renouvelable à 42% à l’horizon 2020. Dans le dernier rapport Climatscope, le centre de recherche Bloomberg NEF passe au peigne fin les politiques énergétiques de 103 pays, leur taux d’utilisation d’énergies propres, ainsi que le climat d’investissement dans ce secteur. Le Royaume souhaite en tout cas diminuer leur consommation d’électricité et notamment les équiper de panneaux photovoltaïques…, Un système solaire à concentration thermodynamique exploite le rayonnement du Soleil en orientant les flux de photons…, La Suède « ouvre la voie vers une économie sobre en carbone » selon l'AIE…, La COP22 s’est terminée le 18 novembre à Marrakech, après plus de dix…, Le pétrole chute après la décision de l'Opep+ d'augmenter sa production, Attaque au Mozambique: un nombre "important" de rebelles abattus à Palma (militaires), Le projet géant de Total au Mozambique en suspens à cause d'une armée démotivée, Nucléaire iranien: Paris encourage Téhéran à se montrer "constructif" dans les discussions à venir, Attaque au Mozambique : le site gazier de Total à l'arrêt complet, Accord entre Beyrouth et Bagdad sur une collaboration médicale en échange de pétrole, Cette réduction des émissions pourrait être portée à 42% «. Le ministre de l’Énergie, Abdelkader Amara, a déclaré en octobre 2015 que le Maroc envisageait de produire de l’électricité nucléaire « à partir de 2030 ». Quant à la capacité éolienne et solaire, elle a doublé depuis 2011 et à ce rythme, avec 2,7 GW de capacité d’énergie renouvelable dans les années à venir, le solaire et l’éolien réunis atteindront un taux de production de 42% 2020, estiment les auteurs du rapport qui observent cependant une très faible évolution de l’hydroélectrique. À l’horizon 2030, la part des énergies renouvelables dans la production d’électricité devrait atteindre 52 % de la capacité installée. L'IEA publie son examen approfondi de la politique énergétique du Maroc. Le secteur de l'énergie au Maroc est dominé par les énergies fossiles, presque entièrement importées, qui couvrent 88,7 % de la consommation d'énergie primaire du pays en 2018 (pétrole 60,2 %, charbon 24 %, gaz 4,5 %) ; les énergies renouvelables contribuent pour 9,9 % (surtout biomasse : 6,4 % et 2,8 % d'éolien et solaire) et les importations d'électricité pour 1,4 %. Ainsi, le Chili est en tête de ce classement avec un score global de 2,63, suivi de l’Inde (2,57), de la Jordanie (2,54), du Brésil (2,52), du Rwanda (2,31), des Philippines (2,29) et de la Chine (2,28). En 2015 une nouvelle dynamique a été insufflée dans le secteur accélérant ainsi la transition énergétique du pays. Le Maroc dispose naturellement d'une politique énergétique; c'est le nerf de la guerre. Abonnez-vous gratuitement aux newsletters, La situation énergétique du Maroc analysée par l’AIE. L’Agence internationale de l’énergie déplore que les objectifs de développement des énergies renouvelables du Maroc se cantonnent aujourd'hui au secteur électrique et appelle le gouvernement à préciser également ses ambitions pour ces filières dans le secteur résidentiel et les transports. Amina Benkhadra, ministre de l'Énergie et des Mines a justement dévoilé un plan d’action en direction des énergies renouvelables en juillet dernier, et le gouvernement marocain prévoit de créer un Fonds de Développement Énergétique doté de 1 milliard de dollar provenant des dons du Royaume d'Arabie Saoudite et des Emirats Arabes Unis et d'une contribution du Fonds Hassan II. La politique énergétique du Maroc date de 2009. Le Maroc a pour ambition de fortement développer les énergies renouvelables dans le secteur de la production d’électricité : en 2009, il a été fixé pour objectif de porter à 42% la part de ces filières en 2020 dans la puissance installée totale du parc électrique marocain. Il en ressort que malgré ses efforts, le Maroc reste très dépendant de l’énergie fossile. (©Connaissance des Énergies, d’après AIE), Une hausse de 32% de la consommation énergétique entre 2007 et 2017. «Les offres concernant l’énergie solaire au Maroc définissent des exigences en matière de stockage afin de remplacer la production coûteuse du fioul, actuellement utilisée pour répondre au pic des demandes en fin de journées», ajoute le rapport en évoquant dans ce sens «les financements du Fonds pour les technologies propres (FTP) de la Banque mondiale». En 2017, la consommation d’énergie primaire du Maroc s’est élevée à 20,5 Mtep, soit 0,57 tep par habitant. (©Pixabay). ... souligne le représentant du Maroc à Berlin. Efficacité énergétique Mosquées et bâtiments verts Projet clôturé : Efficacité énergétique au Maroc (DKTI4) Royaume du Maroc Ministère de l’Industrie, du Commerce, de l’Energie et des Mines Département de l’Energie et des Mines Centre de Développement des Energies Renouvelables Plan Stratégique National pour le Développement des Energies Renouvelables Contribution au bilan énergétique national (%) 20% 18% 16% 14% 12% 10% 8% 6% 4% 2% 0% 19 98 20 00 20 02 20 04 20 06 … Sa mise en œuvre s’inscrit dans la ligne de la stratégie énergétique nationale coordonnée par le ministère marocain de l’Énergie, des Mines et du Développement durable. Le rapport annuel Climatscope met par ailleurs l’accent sur la forte dépendance du Maroc qui compte sur l’importation d’électricité depuis l’Espagne, en plus des combustibles fossiles. La politique énergétique marocaine : des paroles et des actes Ce discours est donc particulièrement séducteur. A cet effet, le pays veut créer un climat d’investissement plus propice qui dynamisera le secteur. Ce choix est lié aux objectifs très ambitieux du Maroc dans le domaine des énergies renouvelables. Approvisionnement en nickel : un risque pour « l’Airbus des batteries » ? Une consommation d’énergie reposant à près de 90% sur les énergies fossiles. Concernant le Maroc, Bloomberg NEF indique que la production du charbon à des fins énergétiques a augmenté de 1 GW depuis 2011. SOLAIRE EXPO MAROC 2018 a fermé ses portes sur une 7ème édition réussie, en confirmant son statut de plus grand événement consacré à l’énergie solaire et l'efficacité énergétique au Maroc. L’interface interactive de Climatscope, qui permet de modifier les critères de classement, montre que le Maroc est classé 23ème pays sur 103 avec un score de 1,99 (le plus proche de zéro étant le plus bas). Maroc : une transition énergétique sans préjugé richard Lavergne1 En octobre 2014, l’Agence internationale de l’énergie (AIE) a présenté son premier « Rapport de revue en profondeur » de la politique énergétique du Maroc, une évaluation et des recommandations avec … Le Maroc et l'énergie : quelle contribution en vue de la COP21 ? L’énergie au Maroc 1. En effet, la politique énergétique marocaine notamment en matière des énergies renouvelables est souvent citée comme exemple à l’échelle internationale. Situation initiale . Le biométhane en France : des injections en forte hausse mais un manque de visibilité, La stratégie de souveraineté minérale américaine : une mobilisation tous azimuts, Après l’Ever Given : les implications du blocage du canal de Suez pour le commerce mondial, Perspectives des énergies renouvelables en Albanie, Les mosquées marocaines trop énergivores ? PAREMA est la plateforme centrale du dialogue institu-tionnalisé sur la politique énergétique entre l’Allemagne et le Maroc. État des lieux. Le Maroc a depuis précisé que les énergies renouvelables devront compter pour plus de 52% des capacités électriques du pays à l’horizon 2030. Ce document s’intéresse à l’utilisation des énergies propres dans 103 pays pour couvrir leurs besoins internes. Malgré ces « efforts positifs », l’AIE rappelle que la consommation d’énergie primaire du Maroc repose encore à presque 90% sur les énergies fossiles : à 62% sur le pétrole, à 21,7% sur le charbon et à 5% sur le gaz naturel selon les dernières données de l’Agence portant sur 2017. De la COP21 à la COP22 : comment gagner le combat climatique ? Sahara : Nasser Bourita choisi l’ironie pour répondre à Sabri Boukadoum, L’autre récit de Mahjoub Salek #5 : «Le Polisario a mis en place un système stalinien», Covid-19 au Maroc : 132 nouvelles infections et 7 décès ce lundi, Le PJD demande la déchéance du mandat d’un député ayant rejoint le RNI, Automobile : Les ventes progressent de 37,4% au premier trimestre de 2021, Sahara : Le Polisario veut un siège à l’ONU, Maroc : Redressement de l'économie de 0,7% au T1-2021, Après le report de sa visite à Rabat, le chef de la diplomatie mauritanienne reçu à Tunis et à Alger, Le Maroc sonde les compagnies maritimes pour l’Opération Marhaba, Maroc : Une première équipe de Cécifoot pour les femmes malvoyantes voit le jour à Salé. Données générales sur les hydrocarbures , l’énergie électrique et les émission de CO2 dues à la consommation énergétique: Observation et prospective: 2017: IDR Morocco 2019: Revue en profondeur de la politique énergétique du Maroc par l’AIE: Observation et prospective: 2019: CRN reports Pour rappel, le Maroc - qui a accueilli la COP22 à Marrakech fin 2016 - s’est engagé dans le cadre des accords de Paris à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 42% d’ici 2030 par rapport à un scénario « business-as-usual » à cet horizon, sous réserve « de recevoir un appui substantiel de la communauté internationale » (sans ce soutien extérieur, l'objectif est limité à une réduction de 17% des émissions à l'horizon 2030)(3). Au Maroc, la politique énergétique et climatique a connu des évolutions majeures depuis la première étude approfondie sur ce pays publiée par l'Agence internationale de l’énergie (AIE) en 2014, et depuis l'IEA Clean Energy Technology Assessment of Morocco (Évaluation de l'AIE sur les technologies d'énergie propre au Maroc) de 2016. Le solaire est intégré dans le plan d'électrification du Maroc qui a permis de rattraper le retard marocain en la matière, notamment face au voisin algérien qui dispose d'une excellente couverture et d'infrastuctures anciennes plus ou moins efficaces. Créez en un immédiatement ! La production nationale d’hydrocarbures étant « négligeable » selon l’AIE (malgré quelques projets prometteurs en développement, notamment autour du permis gazier de Tendrara), le Maroc dépend très fortement des importations. Ainsi, il mise sur une capacité de production d’énergies renouvelables à hauteur de 52% d’ici 2030à travers notamment un large programme d’appels d’offres pour atteindre un objectif de 2 GW de capacité éolienne et solaire en 2020. L'Agence internationale de l'énergie (IEA) a publié mardi un examen approfondi de la politique énergétique du Maroc, saluant les réformes institutionnelles, juridiques et fiscales entreprises pour L’AIE souligne dans son dernier rapport « les réformes institutionnelle, légale et fiscale » entreprises ces dernières années au Maroc. L’AIE avait consacré un premier « rapport approfondi » au Maroc en 2014 et souligne dans sa nouvelle publication les efforts entrepris depuis lors par ce pays pour stimuler les investissements dans les énergies renouvelables, donner accès à l’électricité à la quasi-intégralité de sa population rurale et mettre fin à la plupart des subventions aux énergies fossiles(2). Il ressort de ce rapport que les pays dits émergents se taillent la part du lion en matière d’utilisation, de production et d’investissement dans les énergies propres. L’AIE souligne « les risques d’approvisionnement » du Maroc, en particulier depuis la fermeture de sa dernière raffinerie pétrolière (Samir), placée en liquidation judiciaire en 2015. L’AIE souligne la flexibilité du système électrique marocain (STEP hydroélectriques, centrales thermodynamiques avec stockage, interconnexions en projet, etc. Il est noté à 2,81 comme étant doté à 50% des fondamentaux pour mettre en place une politique énergique propre et efficace, ce qui équivaut à une note de 0,93 au niveau des 25% d’opportunités d’affaire et à un score de 1,42 sur un taux d’expérience de 25% en matière d’énergie renouvelable. La politique énergétique maro-caine et ses liens avec les pays voisins, les choix stratégiques adoptés par le Maroc, l’impact sur l’économie marocaine en termes de création de valeurs et d’opportunités et les enjeux technologiques de ces choix sont autant de sujets autour desquels ont débattu d’émi-nents experts marocains du sec- Sur le plan régional, ce classement ramène le Maroc en tête, devançant la Tunisie (36ème mondial), l’Algérie (66ème), la Mauritanie (78ème) et la Lybie (99ème). Les politiques énergétique et climatique du Maroc ont connu « des développements majeurs » au cours des dernières années selon un rapport (1) publié le 7 mai par l’Agence internationale de l’énergie (AIE). Dans ce sens, Bloomberg NEF souligne que «le secteur des énergies renouvelables a reçu un soutien important de la part de l’Etat, car considéré comme essentiel pour garantir l’indépendance énergétique et réduire les importations coûteuses» de combustibles. Le Maroc a adopté, depuis 2009, dans le cadre des hautes orientations royales, une stratégie énergétique ambitieuse prenant en compte les défis du Maroc et reposant principalement sur la montée en puissance des énergies renouvelables, le développement de l’efficacité énergétique et le renforcement des capacités régionales, a indiqué samedi le secrétaire général du ministère de l’Énergie, des Mines et du … En 2017, la production électrique du Maroc a reposé à plus de 80% sur les énergies fossiles. Les pays du sud champions de l’énergie propre. En 2025, le gaz naturel devrait représenter 30 % du mix énergétique Enfin, le Maroc table à terme sur l’énergie nucléaire. Un financement qui a, à son tour, «attiré 3,3 milliards de dollars supplémentaires des banques de développement multilatérales et régionales». © Yabiladi.com 2002 - 2021 - tous droits réservés |. La consommation d’énergie primaire du Maroc a augmenté de 32% entre 2007 et 2017 (atteignant 20,5 Mtep cette année-là). Situation (consommation, production, distribution) et dépendance (impact sur la balance commerciale) 2. Pour cela, le pays mise sur les différentes filières renouvelables : éolien (9,5% de la production électrique en 2017), hydroélectricité (4%), solaire (1,3%) incluant en particulier les centrales thermodynamiques, etc. Résumé Au Maroc, la politique énergétique et climatique a connu des évolutions majeures depuis la première étude approfondie sur ce pays publiée par l'Agence internationale de l’énergie (AIE) en 2014, et depuis l'IEA Clean Energy Technology Assessment of Morocco (Évaluation de l'AIE sur les technologies d'énergie propre au Maroc) de 2016. Il analyse également les investissements initiés en la matière, ainsi que la politique énergétique globale de chaque pays. Mohammed Ghazali a rappelé que les fruits de cette politique sont aujourd’hui palpables. Cette production a ainsi connu une croissance totale de 20% sur sept ans, selon la même source.